« Mon papa est atteint d’une Dégénérescence Fronto Temporale (DFT), une maladie apparentée à la maladie d’Alzheimer. J’ai entendu parler de la Fondation lors d’un appel à bénévoles pour une des quêtes nationales. Sans hésitation, j’ai décidé d’y participer pour collecter des dons pour la recherche. Le bénévolat est une source de satisfaction personnelle, d’épanouissement et de plaisir, car, donner, c’est aussi recevoir ! A la Fondation, nous sommes entourés de belles personnes bienveillantes et à l’écoute qui nous soutiennent en cas de besoin. Je m’y sens utile, cela m’aide à mieux comprendre, vivre et à accepter la maladie de mon papa. »
Leïla (Auvergne-Rhône-Alpes)
« M’investir comme bénévole était nécessaire pour moi, car face à cette injuste et invisible maladie, on se sent désarmé et impuissant. Pouvoir contribuer à la recherche par des actions, même minimes, me permet d’avoir ce sentiment d’être utile. J’ai perdu mon père cette année, il vivait à la Réunion et était atteint d’une forme apparentée de la maladie d’Alzheimer. Rejoindre la Fondation apporte de belles rencontres qui font que, l’histoire d’un instant, on ne se sent plus seul, au sein de cette grande famille. Être bénévole c’est pour moi le moyen de respecter un certain devoir de mémoire. Et de faire un pied de nez à la maladie, en quelque sorte… »
Gilles (Ile-de-France)
« J’ai décidé de devenir bénévole pour avoir un impact, même minime, sur la recherche sur la maladie d’Alzheimer. La principale raison de mon engagement est le décès de mon grand-père en 2021 : sa maladie a beaucoup touché sa famille, notamment moi. Le jour où j’ai annoncé à ma mère mon projet de rejoindre le réseau bénévole de la Fondation, je l’ai entendue pleurer après que j’ai quitté le salon. Cet engagement n’est pas seulement pour moi, mais c’est aussi pour ma famille et pour toutes les personnes touchées de près ou de loin par la maladie. »
Clara (Hauts de France)
Pour aider les malades, aidons les chercheurs !
